Petite histoire des pédagogues. Philippe Meirieu

Quelques figures de la pédagogie classées par ordre chronologique, avec une courte notice présentant leur apport… J’ai considéré comme « pédagogues », selon la proposition de Jean Houssaye, des personnalités engagées à la fois dans la réflexion et l’action éducative. On ne trouvera donc pas ici tous les « penseurs » et philosophes de l’éducation.cartes_pedagogues

Le système d’information géographique (SIG) du réseau de l’Assurance Retraite et de l’Assurance Maladie : Un outil partagé au service de l’observation des publics en situation de fragilité

Dans le cadre de son action de partage et de valorisation des travaux d’observation sociale,
la POSMIP a le plaisir de vous convier à la présentation :

Le système d’information géographique (SIG) du réseau de l’Assurance Retraite et de l’Assurance Maladie :
Un outil partagé au service de l’observation des publics en situation de fragilité

par
les représentants de la Caisse d’Assurance Retraite et de la Santé au Travail (CARSAT)
et des Caisses Primaires d’Assurance Maladie (CPAM) de Midi-Pyrénées

Les observatoires des situations de fragilité sont le reflet d’une volonté coordonnée entre la CNAMTS et la CNAV d’instaurer un véritable processus d’observation et de détection des fragilités de leurs ressortissants. Les organismes de Sécurité sociale souhaitent en effet faire du repérage des risques une pièce maîtresse de leur action auprès des personnes les plus vulnérables.
De façon schématique, deux usages sont assignés à ce processus d’observation sociale :
• La détection des personnes dont certains critères (ressources faibles, âge,…) indiquent la fragilité potentielle et parfois le risque d’une rupture à venir. L’objectif est alors d’aller au-devant de ces publics afin de leur proposer une aide personnalisée et une facilitation de l’accès aux droits.
• L’identification des territoires dits « fragiles » sous la forme de cartographies à partir de données provenant de diverses sources. Les organismes de Sécurité sociale peuvent alors analyser les besoins pour adapter les modalités de leur action et susciter des partenariats en réponse aux problématiques locales.
Cette démarche, repose sur l’exploitation des données issues des systèmes d’information propres aux branches maladie et retraite.
Pour ce faire, les caisses ont souhaité mettre en œuvre un outil spécifique : le Système d’Information Géographique (S.I.G.).

Cet outil est désormais accessible à tous, et cette matinée sera l’occasion pour tous les partenaires de l’action sociale de se l’approprier tant dans le cadre de leurs projets territoriaux que dans le cadre des partenariats avec les organismes de la protection sociale.

La présentation s’articulera en trois temps :
• le contexte et la présentation des objectifs de la création du SIG
• des illustrations d’actions mises en œuvre
• les fonctionnalités de l’outil : quelles utilisations pour les partenaires ?

Mardi 28 avril de 10h00 à 12h00 (accueil assuré à partir de 9h30)
CARSAT Midi-Pyrénées
2 rue Georges Vivent, Toulouse
(cf. plan d’accès en pièce jointe)

Vous souhaitez y participer ?
Merci de compléter le formulaire en ligne
Inscription obligatoire avant le jeudi 23 avril dans la limite des places disponibles

Pour plus d’informations sur la POSMIP
www.posmip.fr

Hélène Lecomte
Animatrice
06.70.58.60.19
Plateforme d’Observation Sociale Midi-Pyrénées
www.posmip.fr

Plan_acces_CARSAT.pdf

Démarche Jeunesse et Intercommunalités

Mairie-conseils caisse des dépôts – Février 2015

Méthode et résultats d’une démarche pour accompagner la réflexion des élus locaux

par : Kamel Rarrbo, sociologue, expert associé à Mairie-conseils, Emmanuel Stroesser, journaliste, Bernard Saint-Germain, chargé de mission Mairie-conseils

mairie-conseil politique jeunesse et intercommunalite

 

Compétences : chercheurs et praticiens parlent-ils de la même chose ?

par Olivier Rey (ingénieur de recherche à l’ENS de Lyon)

article publié sur le site Eduveille, autour des recherches en éducation et formation)

La question des compétences dans la scolarité obligatoire en France fait apparaître un décalage significatif entre la reconnaissance officielle de la notion dans le socle commun, son succès relatif auprès de nombreux enseignants et acteurs éducatifs et le faible intérêt que lui porte la recherche en éducation.

(…) Au delà de ce constat élémentaire, on peut surtout s’interroger sur la différence entre l’usage du terme par les acteurs éducatifs et sa perception par les chercheurs.

consulter l’article

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